Lisbeth du clan Vampyrvil

Bonjour à vous,

C'est sur l'invitation de Nataswarior que je me présente à vous.

Je me prénomme Lisbeth et c'est ma bien-aimée Tristïà qui a fondé notre royaume de Vampyrvil. Pour cette simple raison, je ne souhaite pas quitter mon clan (je suis une incorrigible romantique) mais je trouve l'idée intéressante de faire connaissance avec d'autres vampires.

J'espère que cela marquera le début d'une grande entente entre nos deux clans

Je vous invite également à nous rendre visite.


http://vampyrvil.forumgratuit.org/forum.htm


Bien à vous,

Lisbeth

coucou bienvenue a toi sur le forum ^^
meme si j aurai bien aimé avoir un nos cotés un nouveau bon joueur du monde 7 ^^
en tous cas bonne balade sur notre forum

Bonjour a toi, et bienvenu dans notre humble manoir.
Nous somme heureux d'accueillir des invités d'autre clan.
C'est tout un honneur que vous nous faites.

Je passerais surement vous faire un petit coucou alors !
L'union fait la force, si il le faut dans les coups dur, je suis
d'accords pour joindre nos force !

Ah làlà, un amour éperdue qui empêche de briser un clan, oui je comprend tout a fait ce que tu peux ressentir .
En attendant amuse toi comme il te plaira Lisbeth, fait comme chez toi.
A bon entendeur =). Le bar est ouvert .

Un bruissement se fit entendre dans la grande salle et, avant que quiconque ait pu bouger, la chasseresse se trouva aux côtés de sa bien-aimée.

-Salutation fit-elle en s’inclinant…

Puis, avant de glisser doucement sa main dans celle de sa reine elle dit:

- Je suis Tristia, bouclier et fer de lance de la reine Lisbeth de Vampyrvil, général de l’Elite… et prêtresse d’Ishtar depuis près de 2500 ans…

Puis saluant tour à tour tous ceux qui était présents, elle fit un tour d’horizon avant de s’adresser mentalement à sa bien aimée :

-Vampyrvil est tienne et où tu iras, j’irai avec toi… Tous ceux qui s’allieront à toi, je le respecterai, je les aiderai, je les secourrai en cas de danger… mais malheur à celui qui se dressera sur ta route pour te faire ombrage ! Car celui-là je le poursuivrai de ma colère jusque dans les entrailles de la terre et je le briserai !

Tristia n’ajouta mot mais elle demeura là à ses côtés…

Elle était venue sans armes et n’adoptait aucune attitude hostile, bien au contraire… mais à son front, l’étrange oiseau de feu semblait vouloir prendre de l’ampleur… Etait-ce un bon ou un mauvais présage, elle n’eut pu le dire…

J’errai dans ce manoir qui, depuis peu, me sers de demeure. Je porte mon habituel habit rouge et blanc. Pourquoi rouge et blanc? Personne ne le sait sauf moi. Puis personne ne le saura jamais de ma bouche. . Peut-être de déduction ils réaliseront, mais je ne me fais point d’illusions. Blanc comme neige et rouge de sang, voilà la parfaite comparaison… Je suis éternel solitaire, refusant de se faire enchaîner. Refusant de se faire guider, je suis seul et resterai seul. Mon univers ne tourne qu’autour de moi, personne n’y entrera jamais. Suis-je une perfide personne? Évidement. Je suis bête, monstre, calomnie! Devant m’abreuver constamment du liquide vital des mortels. Maintenant que tous ce que j’ai jadis chéri a péri, je ne vois plus l’utilité de continuer.

Mes pas foulent le sol d’un rythme lent mais assuré, déambulant où bon mon cœur me guide. Tout est découverte, rien n’est jamais acquis. C’est cela que la mort m’a enseigné. En effet, nous ne sommes vivants. Vampires comme bêtes à quatre pattes. Le souffle de la vie nous a laissé depuis le jour de notre transformation. De là, notre être n’est plus que chair vivant de chair et de sang. Créature vide d’âme, que coquille vide. Je passai devant les appartements des autres créatures faisant parti de ma race. Je ne m’arrêtai point. Mes songes étaient perdus dans un monde trop lointain. Je ne sais point où je vais, mais mes pieds continuent leur périple. Que de chandelles je suis éclairé, cela me conviens largement. Je ne suis plus digne de m’afficher sous les rayons de cette mère bénéfique. Mère car elle donne la vie. Alors que l’astre nocturne donne la vie à la mort.

Mes yeux étaient neutres, tout comme mon visage qui était de marbre. Le froid est mien, de glace, de neige, de bruine ou de brouillard. Mon corps est glace et mon âme est tristesse. Perdu à jamais dans ce brouillard qu’est le reste de ma conscience. Éternel solitaire qui ce fardeau doit porter. Un fardeau que certains disent bénédiction mais pour moi…Pour moi ce n’est que malheur, peine, haine et désolation. Tuer pour vivre, non. Mais je me dois d’obéir à ces pulsions… J’arrivai bientôt à cet escalier. Des torches devant moi se trouvaient. Jusqu’en bas allaient. Comme pour montrer une voie à suivre. De là j’eu un soupçon de dégoût. Je ne tournai même pas de la tête vers le bas, sachant que des gens s’y trouvaient. Des voix se faisaient entendre puis je n’étais point sourd. Je compris les brèves paroles de ces derniers alors que je me tournai las vers eux. Mon envie spontanée était de me laisser tomber dans les escaliers et espérer que mon cou se rompe devant eux. Mais je ne le fis point. De ce pas caractéristique je descendis les marches. Une à une, triste, mélancolique, c’est ce que disait mon être en se rapprochant d’eux. Mes yeux les fixaient d’un air mort. Aucunement animé par les sentiments. Les sentiments…

J’eu cette rose depuis longtemps dans ma main. Contrairement à la coutume, je ne tenais pas cette fleur aux milles descriptions là où je ne risquais rien. Car la vie n’est que cruel combat, éternel souffrance et malheur à perte d’horizon. Mes doigts étaient placés sur ses épines, car non, je ne ressens plus le mal. Tel est ma seule vraie satisfaction, le mal. L’un des rares sentiments qui m’habite toujours. Profondément enfoncé dans cette chair blanchâtre, laissant parfois tomber une goute au bout de ce filet rouge qui dansait sur mon doigt. J’arrivai en bas de l’escalier, je les regardai lentement, tous et chacun. Mes yeux étaient vides de toute émotion. J’eu un faible sourire en regardant cette faible créature qui devant moi, à deux mètres se trouvait. Un sourire vil, narquois, mais qui fut vain. Je me permis de me perdre dans son regard avant de laisser mes lèvres cracher quelques mots.

-Suivre n’est que fruit de la faiblesse. Obéir à un autre plutôt qu’à soi-même, lâcheté certes mais imbécile qui plus est. Que de longs titres gratifiants pour qualifier un être insignifiant. Arme ou bouclier, vous ne ferez long feu ainsi. Si pour elle vous utilisez votre corps, alors pour vous il ne reste plus rien. Vous n’êtes rien.

Je regardai, du même regard cela va de soi, l’autre dame qui se faisait nommer « reine ». J’ajoutai sans plus de conviction :

-Cela tiens aussi pour vous. Se doter de qualificatifs tels que reine…Pitoyable.

J’eu envie de cracher sur le sol devant eux mais une fois de plus, je me retins. Je préférai rester de marbre que d’afficher ce que je croyais réellement d’eux et de toute cette idée de famille. Je ne suis rien, mais je suis quelqu’un. Le mal m’habite, tout comme la haine, la tristesse, la souffrance et la dévastation. Je ne vis que pour moi-même, personne n’entrera jamais dans mon monde. Mais eux, ils donnent leur confiance à n’importe qui. Nous devrions garder cela pour nous-même, nous ne sommes jamais mieux servi ainsi.

Je ne me gratifie pas de titre comme eux, éternel solitaire à l’esprit romantiquement nostalgique. Que valent ces titres dans le fond? Puissance? Certes ils peuvent m’embrocher, me décapiter, me lancer sans efforts. Mais que cela prouverait-il? Rien du tout, sauf faiblesse. Faiblesse psychologique. J’eu un mince sourire diabolique. C’est étrange comme personne ne me connait, je préfère cela ainsi.

Je restai là sans bouger, même mes cheveux étaient pétrifiés sur mon corps. Les torches et chandelles étaient de mise, j’attendai une réponse à travers cet obscurité omniprésente. Que ce soit des membre des… « OS » ou des nouveaux arrivants.


HRP: Bienvenue à vous deux, heureux que d'autres à nous se joignent. Ensemble pourrons-nous discuter ou alors jouer par écrit ce que notre esprit nous dicte!

ouaip bienvenue a toi noble trista ^^
alors vous etes toujours sure de ne pas vouloir nous rejoindre dans notre humble clan et ensemble gerroyer et devenir le clan le plus puissant du 7eme royaume

Superbe RP ^^
Content de voir qu'on trouve encore un peu de " bon vocabulaire " français ^^

Ca ne pique pas les yeux, là, au moins ^^

Et bienvenue Lisbeth, et Tristia ^^



Accessoirement, vu les fréquentations du fofo, je vais peut-être planter ma tente ici

J'aurais pû en rajouter une couche ni, mais ce soir j'ai tellement la flemme que je vais m'abstenir. Mais si vous commencez réellement une longue discutions il se peut que je m'y invite.

Plusieurs vampires étaient venus à moi pour se présenter.

Je saluais chacun d'entre eux quant un léger courant d’air fit virevolter mes cheveux avant de sentir sa main chaude dans la mienne. Ce simple geste pourrait faire battre mon cœur s’il n’était pas mort. Elle était venue et m’avait suivie ici, ma Tristïà, mon âme sœur éternelle. Elle n’était pas vampire et n’était pas une humaine ordinaire non plus. Aucune d’entre nous n’avait pu trouver réponse au mystère de sa longévité, équivalente à la mienne, ni à celui de cet étrange oiseau de feu qui faisait régulièrement apparition sur son front. J’entendis ses pensées qui m’étaient destinées et je lui répondis ceci :

- Je n’en ai jamais douté mon Amour et quiconque lèvera la main sur toi devra affronter ma colère. Nous ne craignons rien ici, je le sens.

En silence, elle hocha la tête et resserra davantage sa main dans la mienne.

Je sentis soudainement une présence, une aura étrange… Déterminée, froide, torturée… Je pouvais maintenant entendre les pas de l’être en question descendre lentement l’escalier qui menait au petit groupe formé autour de nous. Etrange également qu’à son arrivée tomba un silence de mort. Un être au visage angélique, impassible, illuminé par la faible lumière des torches recouvrant la pièce. Il était vêtu d’un habit rouge et blanc, couleurs de sang et de pureté. Rouge et blanc aussi ses doigts qui tenaient une rose, les épines plantées dans la chair.

Il tourna son regard vers mon Aimée, il esquissa un bref sourire avant de s’adresser à elle sur un ton neutre:

Citation :

-Suivre n’est que fruit de la faiblesse. Obéir à un autre plutôt qu’à soi-même, lâcheté certes mais imbécile qui plus est. Que de longs titres gratifiants pour qualifier un être insignifiant. Arme ou bouclier, vous ne ferez long feu ainsi. Si pour elle vous utilisez votre corps, alors pour vous il ne reste plus rien. Vous n’êtes rien.

Puis il plongea ses yeux vides dans les miens et ajouta :

Citation :

-Cela tiens aussi pour vous. Se doter de qualificatifs tels que reine…Pitoyable.

Je fixais l’être qui venait de s’adresser à moi. Avant de lui répondre et le regarder à nouveau, je plongeai furtivement mon regard dans celui de ma Tristïà. Elle savait que j’allais répondre aux mots qui lui étaient adressés, avant qu’elle ne puisse le faire. D’un sourire léger, mes lèvres s’entrouvrirent pour laisser échapper le son de ma faible voix. Le commun des mortels n’aurait pu entendre mes paroles.

- Suivre et obéir, faiblesse et lâcheté … Si obéir et suivre son cœur pour l’être aimé n’est que faiblesse et lâcheté alors oui, je suis lâche et faible. Et je n’ai pas peur d’admettre que la seule obéissance à laquelle je me soumets est celle de nos deux cœurs. Deux cœurs jadis perdus qui se sont trouvés et qui, comme nos âmes, ne feraient plus qu’un si les lois de la nature le permettait. Mon corps est le sien, le sien est le mien alors oui nous ne sommes rien à vos yeux.
Et qu’il en demeure ainsi car ce qui nous importe est ce que l’on est l’une pour l’autre. Qu’importe le regard d’autrui quand on peut se perdre dans celui de l’être aimé.

Je m’interrompis quelques instants avant de continuer :

- Elle est ma reine comme je suis la sienne. C’est le seul titre qu’elle et moi voulons nous donner. Tous les autres titres, gratifiants ou pitoyables, qui nous sont attribués par les autres n’ont aucune valeur. Et devant ces mêmes autres, je me présenterais toujours ainsi : Lisbeth Solberg, simple servante de l’ombre dans laquelle je suis plongée depuis des siècles. Si titre ou couronne je possédais, à vos pieds je les jetterai, sans aucune hésitation…

Sur ces mots, un léger sourire toujours suspendu à mes lèvres, je m’incline légèrement avant de me relever.

[HRP]Je suis sûre de ne pas vouloir quitter mon clan mais je me plais beaucoup sur votre forum [/HRP]

Citation :

Mon corps est le sien, le sien est le mien alors oui nous ne sommes rien à vos yeux. Et qu’il en demeure ainsi car ce qui nous importe est ce que l’on est l’une pour l’autre. Qu’importe le regard d’autrui quand on peut se perdre dans celui de l’être aimé.

En d'autres lieux, les paroles de l'être sans âme, auraient heurté mon cœur mais ici il n'en est rien... Ne sentant aucune menace dans ces propos, j'écoute Lisbeth en silence et, toujours en silence, j’attends que vienne mon heure…

-Peux-tu comprendre l’amour, dis-je sans articuler la moindre parole... Toi qui oses, sans pudeur, interférer sur des propos qui ne t’appartiennent pas ! Toi qui oses porter un jugement sur des valeurs qui t’échappent crois-tu que ta mort te suffise à me faire trembler ?

Puis, je me tournai lentement vers tous ceux qui nous avaient accueilli et je senti peser sur moi leur regard interrogateur…

Citation :

Elle n’était pas vampire, avait pensé Lisbeth, et n’était pas une humaine ordinaire non plus. Aucune d’entre nous n’avait pu trouver réponse au mystère de sa longévité, équivalente à la mienne, ni à celui de cet étrange oiseau de feu qui faisait régulièrement apparition sur son front.

Doucement, l’oiseau de feu prit de l’ampleur et j’ajoutai…

-C’est vrai, je ne suis pas vampire ! Quoi que le sang de Lisbeth coule dans mes veines, quoi que le mien soit, en elle, conne un feu secret, je ne fais point partie de votre race… Je ne suis ni meilleure ni pire que chacun d’entre vous ! Mais qu’il soit dit, une fois pour toutes, que la faiblesse véritable se trouve non point dans l’amour, non point dans l’acte de tout partager mais bien dans celui de poser un jugement sur ce qui ne peut-être ni compris ni appréhendé ! Ainsi donc, Elaan, apprends à nous connaître avant de nous juger… et tu t’en trouveras grandi !


[HRP] impressionnée par la beauté de certaines plumes rencontrées sur ce forum... c'est un véritable plaisir et honneur que de faire du RP en si bonne compagnie... d'autre part, merci de votre acceuil chaleureux... [HRP]

Toutes deux sont comme les autres, aveuglés. Pourquoi donc dis-je ça? Croyais-je avoir devant moi une espèce comme la mienne? Avoir espoir que d’autres me ressemblait? Illusions. Non, évidemment pas. Je suis solitaire. Ce néant m’appartient, je flotte seul, à la dérive, sur cet océan maléfique. Cet océan qui à tout moment peut me noyer mais qui préfère largement me torturer. De l’eau à grande gorgée me faire avaler, contre mon gré, mais point assez pour ma vie m’enlever.

Suis-je déçu de savoir que comme tous, elles sont incultes? Je ne crois point. Je vis un sourire incompréhensible. Ce qui laisserait probablement incrédule les personnes se trouvant à mes côtés. Ce sourire ne montrait point mes attributs monstrueux. Pourquoi serais-je fier de montrer cela, je cause haine, je cause désolation, je cause tristesse, je cause le mal. Mais d’une part, cela me réjouis. Voir que ces dernières ne sont point plus illuminées sur la vérité me subjugue. Ironique comme je suis seul. J’eu envie de laisser mes poumons crier diaboliquement mais, étant capable, au moins un tant soit peu, de contrôler mes pulsions, je ne le fis point. Soit, malgré mes efforts, un petit rire sot m’échappa. Mes yeux devinrent meurtrier pour une fraction de seconde, je pouvais sentir….gouter le sang à l’intérieur de ma bouche.

J’approchai lentement ma main droite de ma main gauche et appuyai fortement sur cette dernière. Enfonçant plus profondément les épines de la vie dans cette chair putride. Je ris faiblement, un rire maniaque, un rire de plaisir. Cela me fais du bien, ressentir quelque chose. J’enlevai alors ma main et laissai paraître une rose ensanglanté. De par mon sang était alimenté. Je déposai alors cette dernière dans mon autre main, laissant la sanglante trouver refuge à l’intérieur de ma bouche. Mes doigts suivaient lentement le parcours de mes lèvres avant de trouver refuge dans ce palais salivaire. Hors, pas une seule seconde je ne souris. Mes yeux pendant un bref instant démontra ma faim, mais disparut aussitôt. Les torches me faisant reflet dans le dos, je cru percevoir une vision démoniaque.

Je penchai la tête sur le côté droit, ce qui me donna un air d’enfant innocent. Mes yeux n’imitant point cette situation. Ces derniers de marbre étaient restés. Alors, je m’approchai lentement d’eux, ma main lésée pendant à ma gauche, ruisselant de ce liquide rougeâtre qui m’appartenais et qui m’étais si cher. Je tournais comme un canidé, attendant le parfais moment pour frapper. Mais tel n’était point mon intention. Simplement faire des cercles à la lumière des torches, les examiner amplement. Tel était mon but. Puis, je leur adressai parole d’un ton amusé. Les laissant deviner à quel point je les trouvais stupides.

-Obéir à son cœur, quel cœur. Vous êtes un monstre, tout comme moi d’ailleurs. À l’exception que je suis indomptable et que vous êtes enchainé. Vous êtes prisonnière d’une illusion alors que devant moi se dresse la vérité.

Je ris diaboliquement d’un ton faible et las. Morne, mais qui laissait clairement entrevoir mes émotions. Ce qui était extrêmement rare chez un être tel que moi.

-Imbécile… Vous attacher à quelqu’un est futile puisque vous serez toujours déçu. Votre personne doit survivre. Pour ce, vous devez être seule. Se croire importante pour quelqu’un d’autre… Souillure! Se battre pour quelque chose qui n’est point soi est carrément idiot. Puis de votre couronne, je n’en aurais rien à foutre. Vous êtes une moins que rien à mes yeux Solberg, vous et votre chienne. Me donner cotre morceau de métal ne changerais rien à la vision que je vous porte.

Provocation silencieuse, j’étais désormais derrière cette Lisbeth. J’eu envie de jouer un peu, voir qu’allait être leur réaction. Je m’approchai alors d’elle du côté et sur son cou fit glisser mon doigt. Laissant derrière moi une ligne ensanglanté. J'eu point utilisé son prénom, car cela aurait été poli. Et personne ne mérite mon respect. Même ma propre personne. Je regardai alors cette lance, qualificatif inutiles pour une personne tout aussi futile. D’une allure froid, inanimé, mort. Complètement de marbre et ajouté sur un air provocateur :

-Connaître je n’en ai aucune envie. Mais ainsi, en voyant mourir votre « amour » peut-être verrez-vous une parcelle de mon ombre.

En effet, je suis démoniaque. Plus noir que la nuit, plus vil que le diable. Je m’accotai sur l’épaule de Solberg et remis mon index dans ma bouche, tout en regardant ce bouclier droit dans les yeux. Neutre.

Pendant tout ce temps je patientait dans un coin de la salle, Légèrement intrigué par l'arrivé de Tristia qui semblait posséder un certain pouvoir, ou bien était-ce un simple motivation de rejoindre sa bien aimé.

Je remarqua très vite que Elaan, semblait être en désaccord avec ce système...
Les deux amante n'en restant pas moins de marbre.

Je décida enfin de quitté le coin de la salle et de venir à elles.

Je jeta un regard noir a Elaan et pris la parole.

- S'il te plait Elaan, je sais exactement ce que tu peux ressentir, puisque j'ai vécu dans la solitude et j'ai été emprisonné dans un destin immuable pendant de longue années.

Tourne le dos a Elaan, et regarde a présent les deux amantes toujours collé l'une a l'autre.

- Cela dit je n'ai aucune envie que tu fasse fuir nos invitée.

Oui moi aussi mon passé est noir mais j'ai pus tourner la page en fondant cette endroit et cette communauté en compagnie de nataswarior, je voulais me libérer des démons qui me pourrissais la vie.
Il est vrais qu'ayant vécu seule une bonne partie de ma vie j'ai réussis a m'endurcir. On ne peut compter que sur sois même. Mais on a besoin de personne pour survivre. C'est ce que je crois.

Je m'adressa directement au deux amantes

- Vous êtes ici chez vous, vous êtes les bienvenue, vraiment. Ne faite pas attention a tout ce qui se dit. il est mieux ici de se faire une opinion personnelle.
Je m'appelle Shandrakor et je suis l'une des personne qui gère cet endroit.
Si vous avez une question quelquonque je suis a vous.

Je regardais tout les autre membre qui ne semblais pas intrigué plus que ça.

Évidemment il n'y a que Elaan que ça dérange. Il ne s'est surement pas encore habitué a vivre en communauté. Après tout je ne le voie presque jamais même si il est dans notre clan. Songeai-je.

Avant de partir je m'adressa à Elaan et aux amantes en même temps.

- Pour tout le monde sa a été dur Elaan, tout le monde a eux un passé tout le monde a eu des problème. il serait temps d'évacuer les tient et d'éviter de te lamenter continuellement.

Je ferma les yeux et continua mon récit sur un air grave et glacial.

-On imagine pas ce que c'est pour un vampire de chercher sa place dans un monde aussi chaotique. Famine, discrimination, corruption, abus de pouvoir, maladie, guerre qui n'en fini pas, terrorisme. C'est un cercle vicieux la haine engendre la haine, une ronde a laquelle on échappe pas, c'est pour ça que je fait tout pour briser la boucle. Je sais qu'il est impossible d'éradiquer tout ses fléau je n'ai pas cette prétention. Je rêve d'un monde dans lequel on s'allierais pour devenir plus fort, ou l'on aurait pas a perdre ceux que l'on aime.
C'est pour ça que j'ai un profond respect pour l'amour de Tristia et Lisbeth.
Il est impossible d'éradiquer ses fléau seul, mais a plusieurs on peut les repoussé a plusieurs on se soutint pour ne pas tomber dans le désespoir.
Voila pourquoi j'ai fondé ce clan. Idéaliste ? Peut être. mais ça m'est égal tant que mes objectifs pourrons être atteint.

Je me retourna ensuite vers le grand escalier mes cheveux virevoltant suite au geste court et rapide et me dirigea vers celui ci.

Quand ! quand le monde comprendra t'il que l'union fait la force. Quand es qu'il comprendra que ce refermé sur sois même est voué a une auto destruction.

[HRP]Bonjour à vous, désolée pour l'absence mais Tristïà et moi avons eu quelques soucis nous tenant éloignées du net. Nous aimons beaucoup faire du RP ici et nous essaierons de revenir le plus vite possible.

Amitiés,

Lisbeth[/HRP]

Ne te fait aucun soucis, tu passe quand tu veux. nous avons tous une vie derrière ses fabuleux RP.